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Le blog des enseignants d'Histoire de l'art de Toulouse.

30 novembre 2006

Méthode expliquée pour le commentaire en Histoire de l'art antique en L2

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20 mai 2006

Etudes thasiennes et Fouilles de Delphes à l'Arsenal

Liste des ouvrages publiés par l'Ecole d'Athènes
à la bibliothèque de l'Arsenal :

Auteur et titre cote
Etudes thasiennes
Marcel Launey, Le sanctuaire et le culte d'Héraclès à Thasos : 650 374, tome 1
A. E. Balakopoulos, Thasos son son histoire, son administration, de 1453 à 1912 : 650 374, 2
J. Pouilloux, Recherche sur l'histoire et les cultes de Thasos, de la fondation de la cité à 196 av. J.-C. : 650 374, 3
Anne Marie Bon, Timbres amphoriques de Thasos 1. Catalogue établi avec la collaboration de V. Grace : 650 374, 4
J. Pouilloux, Recherche sur l'histoire et les cultes de Thasos 2. De 196 av. J.-C. : 650 374, 5
R. Martin, L'agora. Fasc. 1 : 650 374, 6
Lilly Ghali-Kahil, La céramique grecque. Fouilles 1911-1956 : 650 374, 7
Charles Picard, Les murailles. Fasc. 1 : 650 374, 8
Aliki I qui réunit Jean Servais, Les deux sanctuaires et J.-P. Sodini, Les carrières de marbre à l'époque paléochrétienne : 650 374, 9
J.-P. Sodini, Aliki II. La basilique double. Deux volumes (texte et planches) : 650 374, 10.1 et 2
N. Weill, La plastique archaïque de Thasos I. Texte et planches : 650 374, 11.1 et 2
Y. Grandjean, Recherches sur l'habitat thasien à l'époque grecque : 650 374, 12.1 et 2
C. Abadie-Reynal, La céramique paléochrétienne de Thasos : 650 374, 13
H. Duchêne, La stèle du port I : 650 374, 14

Fouilles de Delphes : 590 014
Topogrtaphie et architecture.
F. Courby, La terrasse du temple : 590 014.II.1
R. Demangel, Les temples de tuf et J. Charbonneau, La tholos du sanctuaire d'Athéna pronaia : 590 014.II. 2
J. Audiat, Le trésor des Athéniens.2 volumes: Texte et planches : 590 014.II.3 et 3bis
P. Amandry, La colonne des Naxiens : 590 014.II.4
H. Jannoray, Le gymnase : 590 014.II. 5
J. Pouilloux, La région Nord du sanctuaire (de l'époque archaïque à la fin du sanctuaire) : 590 014.II. 6
Chr. Leroy, Les terres cuites architecturales et J. Ducat, La sculpture décorative en terre cuite : 590 014.II. 7
A. Tournaire, Relevé et restauration ; Lacoste, Relevé et restaurations : la terrasse du temple ; M. W. Fomine et M. Y. Lauritzen, Relevés et restaurations : le sanctuaire d'Athéna pronaia. : 590 014.II. 8
J. Bousquet, Le trésor de Cyrène : 590 014.II. 9
J. P. Michaud, Le trésor de Thèbes. Texte : 590 014.II. 10
J. P. Michaud- J. Blécon, Le trésor de Thèbes. Planches : 590 014.II. 11
Georges Roux, La terrasse d'Attale Ier : 590 014.II.13
Georges Daux, Erik Hansen, Le trésor de Siphnos. Texte : 590 014.II. 14
Georges Daux, Erik Hansen, Le trésor de Siphnos. Planches : 590 014.II. 15
Le sanctuaire d'Apolloon. Atlas : 590 014.II. 16
Pierre Aupert, Le stade : 590 014.II. 17
Pierre Aupert, Le stade : 590 014.II. 18
J.P. Michaud, Sanctuaire d'Athéna Pronaia. Le temple en calcaire : 590 014.II. 19
J.P. Michaud, Sanctuaire d'Athéna Pronaia. Le temple en calcaire : 590 014.II. 20

Epigraphie
E. Bourguet, Inscriptions de l'entrée du sanctuaire au trésor des Athéniens : 590 014.III. 1
M. G. Colin, Inscriptions du trésor des Athéniens : 590 014.III. 2
M. G. Colin, Du trésor des Athéniens jusqu'aux bases de Gélon : 590 014.III. 3
G. Daux, Inscriptions depuis le trésor des Athéniens jusqu'aux bases de Gélon. 2e livraison. : 590 014.III. 3bis
G. Colin, Inscriptions de la terrasse du temple et de la région Nord du sanctuaire, n° 1-86 : Monuments des Messéniens, de Paul Emile et de Prusias : 590 014.III. 4
R. Flacelière, Inscriptions de la terrasse du temple et de la région Nord du sanctuaire. N° 87-275 : 590 014.III. 4 bis. 1
R. Flacelière, Inscriptions de la terrasse du temple et de la région Nord du sanctuaire. N° 276-350 : 590 014.III. 4 bis. 2
E. Bourguet, Les comptes du IVe s. : 590 014.III. 5
N. Valmin, Lesinscriptions du théâtre : 590 014.III. 6
Th. Homolle, Art primitif, art archaïque du Péloponnèse et des îles ; Ch. Picard, P. de la Coste Messelière, Les trésors ioniques ; P. de la Coste Messelière, Art archaïque (fin). Sculpture des temples : 590 014.IV. 1-3
P. de la Coste Messilière, Sculptures du trésor des Athéniens. 2 volumes : 590 014.IV. 4
Fr. Chamoux, L'aurige : 590 014.IV. 5
Volume sur la sculpture. Le titre et l'auteur manquent, ainsi qu'une grande partie des planches : 590 014.IV. 6

Monuments figurés
P. Perdrizet, Petits bronzes, terres cuites, antiquités diverses : 590 014.V. 1
Cl. Rolley, Les statuettes de bronze : 590 014.V. 2
Cl. Rolley, Les trépieds à cuve clouée : 590 014.V. 3

F. Courby et Ch. Picard, Recherches archéologiques à Stratos d'Acarnanie : 6 867

Exploration archéologique de Délos : 590 028




12 mai 2006

HA 0005 (groupe du mercredi)

Voici, comme je vous l'avais promis, la version écrite du cours de mercredi dernier.

Le mercredi 24 juin, nous commencerons le TD par un petit exercice de commentaire sur le Portrait de Jacopo Strada de Titien (1567, Vienne, Kunsthistorisches Museum). Il serait bon que vous y réfléchissiez par avance...

Cécile Maisonneuve

Titien_portraitiste.doc

26 avril 2006

HI3B22 Archéologie Médiévale pour historiens / programme réaménagé

HI3B22
Archéologie médiévale pour historiens
F Hautefeuille
Organisation du réaménagement des cours
-l'ensemble des séances sera consacré à du cours (2 h). De ce fait les exposés ne seront pas faits en séance publique. Ils donneront lieu à un dossier écrit et à une "soutenance" courte (1/4 d'h), le vendredi 9 juin, dans une salle à définir. Ces séances de soutenance pourront être accessibles à qui le souhaite.
-le programme est revu à la baisse
-l'examen portera sur le programme de cours qui aura été vu

séance du 10 mai : habitat du haut Moyen Age
séance du 17 mai : du manse au mas
séance du  24 mai : absent (déplacement dans le cadre d'un programme de recherche prévu de longue date, impossible à modifier)
séance du 31 mai : sauvetés et villeneuves du XII° s.
séance du 7 mai : bastides et forts villageois de la fin du Moyen Age

26 avril 2006

HA 2020 Archéologie des mondes médiévaux / programme réaménagé

HA 2020
Archéologie du monde médiéval
F Hautefeuille
Organisation du réaménagement des cours
-l'ensemble des séances sera consacré à du cours (4 h). De ce fait les exposés ne seront pas faits en séance publique. Ils donneront lieu à un dossier écrit et à une "soutenance" courte (1/4 d'h), le vendredi 2 juin, dans une salle à définir. Ces séances de soutenance pourront être accessibles à qui le souhaite.
-le programme est revu à la baisse
-l'examen portera sur le programme de cours qui aura été vu

séance du 11 mai : Cimetière chrétien + paroisse
séance du 18 mai: Habitat du haut Moyen Age + habitat dispersé du bas Moyen Age
séance du  1 juin : La naissance du village + le village ecclesial
séance du 8 juin : le village castral + le village marchand ("Market town")

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26 avril 2006

HA 0013 Archéologie et textes / programme réaménagé

HA 0013
Archéologie et textes
F Hautefeuille
Organisation du réaménagement des séances
-l'ensemble des séances sera consacré à du cours
-le programme est revu à la baisse
-l'examen portera sur le programme qui aura été vu

séance du 15 mai : les source littéraires + les sources législatives
séance du 22 mai : les actes de la pratique + les sources fiscales (plans et cadastres)
séance du  29 mai : les sources fiscales (compoix, terrier…)

24 avril 2006

Message de Jean-Marc Luce pour les Licence 3 (Art antique)

Vous trouverez ci-joint la liste des exposés et les dates qui ont été choisies lors de notre dernière séance, la veille des vacances. Les étudiants qui n'ont pas encore choisi de sujet doivent en prendre un. Ils peuvent en choisir un qui a déjà déjà attribué, mais devront alors passer dans mon bureau, avant que l'autre étudiant ne le présente à toute la classe. S'ils veulent présenter leur exposé à la classe, ils devront choisir un nouveau sujet. Exposés du jeudi : Arancio, Le trésor de Thèbes BAE Karine, Les tarentins du haut 25/05 Berrubé : Le brûle parfum 18/05 Boé, Sylvia, La fontaine Kerna 01/06 Boudié Emilie, La fontaine de Castalie. 26/05 Bourgeade : la stoa d'Attale : Exposés du vendredi : Burel : la décoration sculptée de la tholos de Marmaria Deltour : le fronton du temple d'Apollon 11/05 Furlan : le trésor dorique de Marmaria Gibelind, Les reliefs du théâtre Guiraud : la stoa d'Attale Hamel : le théâtre 25/05 Khlopkova : le gymnase 26/05 Laborde : statuettes de bronze d'époque classique Les fontaines Castalie Magnan, Simon, La chasse d'Alexandre, 01/06 Mathieu Cénac, Les Tégéates Mathilde DANIEL, Les Tarentins du Bas : 18/05 Mordyck, Marjolaine, L'architecture de la tholos 01/06 Moussa : le trésor de Thèbes. Pacaud, Vanessa, 01/06 Pellegrain Le Taureau de Corcyre Penin : La colonne des danseuses 11/05 Peres flor, Les piliers attalides 18/05 Peyrol : le trésor de Cyrène 18/05 Pubill : le stade 26/05 Puech : trésor dorique de Marmaria Radot Solène : Offrandes de Marathon Radot, les deux bases de Marathon : Rebullida : la décoration sculptée de la tholos de Marmaria Rouget, Alice, La fontaine Cassotis, 01/06 Rouviere, Le pilier du char des Rhodiens 25/05 Sadeghi Sara : la stèle funéraire Sage : Trésor de Marseille Le 18 après le cours dans le bureau Stroecken, Elodie, Le trépied de Platées. 26/05 Terrier, Charlotte, Le téménos de Néoptolème 25/05 Verbizier : le trésor de Marseille 26/05 Vergeon : l'offrande des Navarques. Ward : l'offrande de Daochos
24 avril 2006

A l'attention des L3 Art antique : Pausanias à Delphes

Je vous propose ici une traduction d'une partie de la Périégèse de Pausanias, ce voyageur grec du IIe siècle après J.-C. qui a visité et décrit Delphes. Vous vous en servirez pour vos exposés. Bon courage à tous PAUSANIAS A DELPHES X, 5, 5-13: Nombreuses et diverses sont les traditions qu'on rapporte à propos de Delphes même; elles sont encore plus nombreuses à propos de l'oracle d'Apollon. On dit en effet qu'à l'origine, l'oracle appartenait à Gê, et que, pour le desservir, Daphnida avait été faite prêtresse par Gê. Daphnida était, dit-on, l'une des nymphes de la montagne. Il y a d'autre part chez les Grecs un poème épique dont le nom est Eumolpia; on attribue ces vers à Musée, fils d'Antiophèmos. Dans ces poèmes donc, il est écrit que l'oracle appartenait en commun à Poséidon et à Gê, que cette dernière rendait elle-même les oracles et que Pyrkôn était pour l'oracle le serviteur de Poséidon. Les vers en question sont les suivants : Aussitôt la voix de la Chtonienne prononça des paroles sages, ainsi que fit en même temps Purkôn, le ministre de l'Illustre Ebranleur de la Terre. On rapporte que plus tard, la part de Gê fut donnée à Thémis et qu'Apollon la reçut en cadeau de Thémis. On dit que Poséidon reçut Kalaureia près de Trézène en échange de l'oracle. Ce sont des bergers qui, selon une tradition que j'ai entendu rapporter, auraient fait la découverte de l'oracle, ils furent alors pris d'enthousiasme à cause de la vapeur et se mirent à rendre des oracles inspirés par Apollon. L'opinion la plus répandue toutefois, chez la plupart des auteurs, cite Phêmonoê: Phêmonoê aurait été la première prêtresse du dieu et, la première à avoir chanté en hexamètres. Boiô, une femme du pays qui a composé un Hymne à Delphes, dit que l'oracle du dieu a été créé par des hommes arrivant du pays des Hyperboréens, qui comptaient parmi eux Ôlên. Celui-là fut, selon elle, le premier à rendre des oracles et le premier à chanter en hexamètres. Boiô a écrit ces vers: C'est là qu'ils accomplirent l'oracle à la belle mémoire, les enfants des Hyperboréens Pagasos et le divin Aguieus. Après avoir passé en revue tous les descendants des Hyperboréens, elle nomme à la fin de son hymne Ôlên: Ölên qui fut le premier prophète de Phoibos, le premier assembla la boiserie des vers anciens. Mais bien sûr, il n'existe pas de tradition comportant la mention d'un autre homme, toutes font état d'une prêtrise réservée aux seules femmes. On dit qu'à l'origine, le temple d'Apollon était fait de laurier et qu'on apporta les branches de laurier depuis la vallée du Tempè. Le temple—celui-là du moins— aurait eu la forme d'une cabane/hutte. Dans un deuxième temps, les Delphiens disent que le temple a été fait par les abeilles avec de la cire d'abeille et des plumes. On dit que ce temple a été envoyé aux Hyperboréens par Apollon. On rapporte une autre tradition, selon laquelle le temple aurait été fait par un Delphien du nom de Ptéras. C'est ce qui explique le nom que reçut le temple, il est tiré de son constructeur. On dit que ce Ptéras donna également son nom à une ville de Crète, Apteréoi, avec l'adjonction d'une lettre. Car, en ce qui concerne la tradition à propos de la fougère (ptéris) qui pousse dans la montagne, selon laquelle ils auraient comme tissé le temple avec cette herbe encore verte, je ne lui accorde pas le moindre crédit. Quant aux traditions relatives au troisième temple, selon lesquelles il aurait été fait en bronze, il n'y a là rien d'étonnant, puisque Acrisios a fait pour sa fille une chambre de bronze et que chez les Lacédémoniens, le sanctuaire d'Athéna chalchioikos subsiste encore de mon temps, qu'à Rome, l'agora qui est un ensemble étonnant par sa taille et par ses constructions, présente un étage en bronze. Ainsi, il n'est nullement invraisemblable que le temple d'Apollon ait été en bronze. Je ne puis accepter en revanche les autres aspects de la légende, comme la version selon laquelle le temple aurait été l'œuvre d'Héphaistos, ou bien, celle des chanteuses d'or placées sur le temple, que chanta Pindare: (six?) enchanteresses d'or chantaient depuis le sommet du fronton. Il a forgé ce récit, à mon avis, à l'imitation des Sirènes d'Homère. Quant à la façon dont il a pu arriver au temple de disparaître, je n'ai pu trouver de récits convergents, car ils disent qu'il est tombé dans l'ouverture du sol (le chasma gês) ou qu'il a fondu sous l'effet du feu. Le quatrième temple a été fait par Trophônios et Agamêdês; on rapporte que ce temple a été fait en pierre. Il a brûlé sous l'archontat d'Erxikleidos à Athènes, lors de la première année de la 58ème Olympiade, qui vit la victoire du Crotoniate Diognêtos. Les Amphictyons ont construit le temple du dieu aujourd'hui debout, avec l'argent sacré; l'architecte était un certain Spintharos de Corinthe. X, 6- On dit qu'une ville fut à l'origine fondée par Parnassos, et que ce dernier était le fils de la Nymphe Kléodôra. On lui attribue comme pères, ainsi qu'à d'autres dits héros, comme dieu Poséidon et comme homme Kléompompos. On dit que la montagne tire son nom de ce Parnassos, ainsi que le vallon parnassien. La [science?] des oiseaux volants et la divination d'après eux est, dit-on, une découverte de Parnassos. Cette ville a été engloutie lors du déluge sous Décalion. Tous les hommes qui purent échapper à la tempête, se sauvèrent grâce aux hurlement des loups sur les pointes du Parnasse en prenant comme guide le cheminement des bêtes; ils appelèrent Lykôreia la cité qu'ils fondèrent alors. On rapporte également une version différente de la précédente : Apollon aurait eu de la Nymphe Corycia un fils Lukôros et de Lykôros viendrait la ville Lykôreia, l'antre Corycien tirerait son nom de la nymphe. On rapporte également les traditions suivantes : Kélainô était la fille de Hyamos fils de Lykoros, Delphos, de qui vient le nom actuel de la ville, serait le fils de Kélainês, elle-même fille de Hyamos et d'Apollon. Les uns acceptent la version selon laquelle Kastalios serait un autochtone et Thyia sa fille, cette Thyia aurait d'abord été prêtresse de Dionysos et aurait conduit des orgies aux Dieux, de cette femme vient le nom de Thyiades donné par les hommes à toutes les femmes qui délirent sous l'effet de Dionysos. Ils estiment donc que Delphos était fils d'Apollon et de Thyia. Les autres disent que sa mère était Mélaina, fille du Céphise. Plus tard, les habitants de la région (périèques) appellèrent la ville Pythô, et non pas seulement Delphes, comme le fait également Homère dans le catalogue des Phocidiens. Ceux qui veulent tout mettre dans des généalogies pensent que Pythê était la fille de Delphos et que la ville tire son nom du règne de ce roi ; mais le récit le plus répandu parmi les hommes dit que pourrit à cet endroit celui qu'Apollon avait frappé de son arc et que la ville de Pythô tire son nom de là, car on disait autrefois puthesthai pour pourrir, et c'est pourquoi Homère a représenté dans ses vers l'île des Sirènes pleine d'os, parce que les hommes qui avaient entendu leurs chants avaient pourri/appris. Les poètes disent que l'être tué par Apollon était un dragon et qu'il avait été fait le gardien de l'oracle par Gê. On dit aussi qu'il était un enfant violent de Krios, un personnage qui règnait du côté de l'Eubée, qu'il viola le sanctuaire du dieu, et il viola également les maisons d'hommes bienheureux. Alors qu'ils se lançaient dans une seconde expédition contre lui, les Delphiens supplièrent Apollon d'écarter d'eux le danger qui les menaçait ; et Phêmonoê, qui était alors prêtresse, leur rendit l'oracle suivant, en hexamètre : Très bientôt, Phoibos lancera son trait pesant contre le brigand du Parnasse; des hommes crétois purifieront ses mains du crime, leur gloire jamais ne mourra. X, 7. Dès l'origine, le sanctuaire de Delphes paraît avoir été la cible de projets hostiles de la part de très nombreux hommes. Le voleur eubéen, des années plus tard le peuple des Phlégyens, et encore Pyrrhos fils d'Achille, se sont lancés dans des entreprises contre lui, ainsi qu'un contingeant des forces de Xerxès, les dynastes des Phocéens qui pendant longtemps puisèrent largement dans les ressources du dieu, et l'armée des Galates. Il fallait sans doute qu'il appartînt au mépris de toute chose propre à Néron d'être dans ce domaine inégalé, lui qui priva Apollon de cinq cents statues de dieux et d'hommes mêlés, toutes en bronze. On rapporte également que cette compétition remonte à une haute antiquité et que l'épreuve qui à l'origine justifiait le prix consistait en un hymne en l'honneur du dieu. Chrysothémis de Crète chanta et remporta la victoire au chant, lui dont le père, Karmanôr, purifia, dit-on, Apollon. On mentionne la victoire au chant de Philammôn, fils de Chysothémis et, après lui, Thamuris, fils de Philammôn. Quant à Orphée et Musée, on dit qu'ils ne consentirent pas à se présenter à des concours musicaux, le premier en raison de sa gravité à l'égard des cérémonies religieuses et par la haute idée qu'il avait de tout le reste, le second parce qu'il imitait en toutes choses Orphée. On dit que Eleuthère remporta la victoire pythique en faisant retentir sa voix forte et douce, puisque chanta une ode dont il n'était pas l'auteur. On rapporte aussi qu'Hésiode fut exclu de la compétition parce qu'il n'avait pas appris à jouer de la cithare pour accompagner son ode. Homère arriva à Delphes pour demander tout ce dont il avait besoin, mais, alors qu'il avait appris à jouer de la cithare, les leçons qu'il avait prises devaient rester inutiles, au vu des circonstances. Lors de la quarante huitième olympiade, lors de laquelle le Crotoniate Glaucon remporta la victoire, lors de la troisième année, les Amphictyons instituèrent une épreuve de cithare, conforme à l'usage ancien, mais ils y ajoutèrent des épreuves de flûte et d'auloi. On proclama comme vainqueurs Mélampous Képhalèn, à la cithare, l'arcadien Echembrotos à la flûte, et l'argien Sakadas aux auloi. Ce Sacadas l'emporta également lors des deux Pythia qui suivirent. Ils instituèrent alors pour la première fois des épreuves d'athlétisme : les mêmes qu'à Olympie, à l'exception de la course de quadrige, et on décréta que la course du long stade [ le dolichos=12 diaules, soit 24 stades] et le diaule (= 2 stades) concerneraient les enfants. Lors de la seconde pythia, ils n'appelèrent plus à concourir pour des prix, mais instituèrent les concours stéphanites [= dont la récompense est une couronne de laurier]. Ils supprimèrent alors le concours de flûte, ayant considéré que l'audition de cet instrument n'était pas de bon augure. [...] PANSANIAS A DELPHES - LIVRE X X, 8, 6 Quand on pénètre dans la ville, on découvre une série de temples : le premier d'entre eux était en ruine, le suivant vide d'image et de statue. Quant au troisième et au quatrième, l'un contenait des portraits de ceux qui ont régné à Rome, mais peu nom¬breux, le quatrième s'appelle le temple d'Athéna Pronoia. C'est parmi les statues qui sont dans le pronaos, que se trouve l'offrande des Massaliotes. Ces dernières sont supérieures en taille à celles qui sont à l'intérieur. Les Massaliotes sont des colons de Phocée en Ionie, l'émigration était en ef¬fet le sort réservé à ceux qui avaient quitté Phocée pour fuir le Mède Arpagos. Après l'avoir emporté sur mer contre les Carthaginois, ils s'emparèrent de la terre qu'ils possèdent aujourd'hui et atteignirent un haut degré de prospérité. L'offrande des Massaliotes est en bronze. Quant au bouclier en or donné par le Lydien Crésus à Athéna, il a été, selon les Delphiens, la vic¬time des sacrilèges de Philomélos. Près du sanctuaire d'Athéna Pronoia se trouve le téménos du héros Phylakos. Ce Phylakos a la réputation chez les Delphiens de les avoir protégés lors de l'expédition des Perses. On dit qu'il y avait jadis une forêt sauvage dans la partie découverte du gymnase, et qu'Ulysse y reçut alors du sanglier sa bles¬sure au-dessus du genou, lorsqu'après son arrivée chez Autolykos, il se fut mis à chas¬ser avec les fils d'Autolykos. Quand on se tourne vers la gauche depuis le gymnase et qu'on descend, à mon avis, de pas plus de trois stades, on découvre le fleuve qu'on appelle le Pleistos. Ce Pleistos descend jusqu'à Kirrha, le port de Delphes où il se jette dans la mer. Quand on monte depuis le gymnase vers le sanctuaire, on a à sa droite les eaux de la Castalie, douces à boire et bonnes pour le bain. On raconte qu'elle tire son nom d'une femme du pays, ou, selon d'autres, d'un homme du nom de Castalion. Panuassis explique dans son épopée sur Héraclès que Castalie était la fille d'Achéloos. Il dit en effet à propos d'Héraclès : Il atteignit de ses pieds agiles le Parnasse enneigé et les eaux immortelles de Castalie, la fille d'Achéloos. On m'a éga¬lement rapporté une version selon laquelle l'eau de la Castalie serait un don du fleuve Céphise. C'est aussi ce qu'explique Alcée dans le prologue de son poème à Apollon. C'est également ce qu'assurent les habi¬tants de Lilaia, qui jettent à des dates con¬venues dans le fleuve Céphise des frian¬dises ou tout autre objet, et prétendent qu'elles réapparaissent aussitôt dans la Castalie. X, 9 La ville des Delphiens offre de toute part un aspect escarpé, et cela est vrai autant pour la ville que pour le péribole sa¬cré d'Apollon. Celui-ci est de grande taille et tout en haut de la ville. Il est régulièrement interrompu par des issues. Je mentionnerai toutes les offrandes qui me paraissent méri¬ter qu'on en parle. Quant aux athlètes et aux musiciens qui n'intéressent plus grand monde, je n'estime pas qu'ils méritent de s'y attarder. Quant aux athlètes qui ont con¬servé quelque chose de leur gloire, je les ai mentionnés dans mon livre sur l'Elide. Le Crotoniate Phaüllos toutefois, qui n'est pas un vainqueur olympique, mais remporta deux victoires au pentathlon à Delphes et une troisième à la course, combattit aussi sur mer contre le Mède sur son propre na¬vire qu'il avait affrété lui-même et dans le¬quel il avait embarqué les Crotoniates rési¬dant en Grèce. Il a sa statue à Delphes. Voilà pour le Crotoniate. Quand on entre dans le téménos, on trouve un taureau en bronze, oeuvre de Théopompe d'Egine, offrande des Corcyréens. On raconte qu'un taureau avait à Corcyre abandonné les autres vaches et les pâturages et qu'il était descendu jusqu'à la mer où il s'était mis à mugir. Comme le même phénomène se reproduisait tous les jours, le bouvier descendit jusqu'à la mer, et il y vit une quantité incroyable de thons. Il le fit savoir aux Corcyréens de la ville. Mais comme leurs efforts pour s'emparer des thons étaient restés infructueux, ils en¬voyèrent une ambassade consulter l'oracle de Delphes. Ils sacrifièrent ainsi le taureau à Poséidon et s'emparèrent des poissons immédiatement après le sacrifice. Les of¬frandes de Delphes et d'Olympie sont la dîme de cette pêche. Puis vient l'offrande des Tégéates sur les Lacédémoniens qui comporte Apollon, Nikè et les héros locaux Kallisto, fille de Lycaon, Arkas, le héros éponyme de la région, les fils d'Arcas Elatos, Apheidas, Azan, et après ceux-ci, Triphylos. Ce Tryphilos n'avait pas pour mère Eratô, mais Laodameia, fille d'Amiklès, qui régna sur Lacédémone. Puis se dresse Erassos, fils de Triphylos. Les auteurs de ces statues sont Pausanias d'Apollonié, qui fit Apollon et Kallisto, pour les statues de Nikè et d'Arcas, le Sicyonien Daidalos, l'Argien Antiphanès et l'Arcadien Samolas, ce dernier fit Triphylon et Azana, tandis qu'Elaton, Apheidanta et Erasos sont du sculpteur argien. Les Tégéates envoyèrent à Delphes ces offrandes lorsqu'ils eurent fait prisonniers des Lacédémoniens qui s'étaient lancés dans une expédition contre eux. C'est aux Lacédémoniens qu'appartient l'offrande située en face, of¬ferte sur les Athéniens. Y figurent les Dioscures, Zeus, Apollon et Artémis, auxquels s'ajoutent Poséidon et Lysandre fils d'Aristocritos en train de se faire cou¬ronner par Poséidon, Agias qui était alors le devin de Lysandre, et Hermôn, le pilote du navire-amiral de Lysandre. C'est le Mégarien Théokosmos qui devait réaliser la sta¬tue de cet Hermon après que ce dernier eut été inscrit par les Mégariens au registre des citoyens. Les Dioscures sont l'œuvre de l'Argien Antiphanès, le devin de Pisôn de Kalaureia de Trœzène. Athènodoros et Daméas sculptèrent, pour le second Artémis et Poséidon, ainsi que Lysandre ; Athénodoros réalisa Apollon et Zeus. Ce sont des Arcadiens de Kleitor. Derrière les œuvres déjà énumérées, se dressent ceux qui ont participé à la bataille d'Aigos Potamos, qu'ils soient Spartiates ou alliés : il s'agit d'Arakos et d'Erianthès, le premier était de Lacédémone, Erianthès était Béotien. [...] Au-delà de Mimas, il y a Astycratès, les Chiotes Képhisoclès, Hermophantès et Ikésios, Timarchos et Diagoras qui sont rhodiens, le Cnidien Théodamos, Kimmérios d'Ephèse et le mi¬lésien Aiantidès. Ces statues sont l'œuvre de Tisandros, les suivantes du Sicyonien Alypos. Elles représentent le Myndien Théopompe, le Samien Kléomédès, le Karystien d'Eubée Aristoclès, l'Erétrien Autonomos, le Corinthien Aristophantos, le Trœzénien Apollodore et Dion d'Epidaure en Argolide. Á côté de ces statues, se trou¬vent l' Achaien Axionikos de Pellène, Théaros d'Hermion, Pyrrias le Phocidien, le Mégarien Kômôn, le Sicyonien Agasiménès; d'Ambracie, de Corinthe et de Leukade, il y a Tèlycratès, le Corinthien Pythodotos et l'Ambracien Euantidas. Les derniers personnages sont les Lacédé-moniens Epikydidas et Etéonikos. On dit qu'ils sont l'œuvre de Patroclès et de Kanachos. Les Athéniens s'accordent à considérer que le désastre d'Aigos Potamos ne s'est pas produit selon la jus¬tice : ils ont, d'après eux, été trahis par des stratèges pour de l'argent, ce sont Tydée et Adeimantos qui ont à leur avis accepté des présents de la part de Lysandre. Et pour prouver leur allégation, ils citent un oracle de la Sibylle : Zeus le Tonnant d'En Haut dont le pouvoir est immense réserve aux Athéniens le deuil aux lourds gémissements, aux na¬vires porteurs de guerre, l'affrontement destructeur de la bataille lors de laquelle ils seront anéantis au moyen de la ruse, par la lâcheté des ber¬gers. Ils évoquent par ailleurs un des oracles de Musée qui dit: et un orage sau¬vage s'abattra sur les Athéniens par la lâcheté de leurs chefs; il y aura quelque encouragement à la dé¬faite. Ils ne resteront méconnus de la cité, ils seront châtiés. Mais restons en là sur ce sujet. La Sibylle avait également prophétisé que le combat pour Thyréa entre Lacédémoniens et Argiens ne départage¬rait pas les cités. Les Argiens qui estimaient néanmoins avoir eu le dessus, envoyèrent à Delphes un cheval en bronze, le cheval dourien. L'œuvre est de l'Argien Antiphanès. X, 10 Sur la base au pied du cheval dourien, il y a une inscription précisant que les statues ont été consacrées sur la dîme de l'affaire de Marathon. Il s'agit d'Athéna, d'Apollon et d'un homme qui faisait partie des stratèges : Miltiade. Parmi ceux qu'on appelle des Héros, il y a Erechthée, Cécrops et Pandion, Léôs et Antiochos qu'Héraclès eut de Méda, la fille de Phylas, et encore Egée et parmi les fils de Thésée, Acamas. Ces héros ont donné leurs noms aux tribus des Athéniens conformément à un oracle rendu à Delphes. Il y a Kodros, Thésée et Philaos, mais ceux-ci ne sont pas des héros éponymes. Les statues énumé¬rées sont l'œuvre de Phidias et constituent véritablement elles aussi la dîme de la ba¬taille. Quant à Antigone, son fils Démétrios et l'Egyptien Ptolémée, les Athéniens en¬voyèrent leurs statues à Delphes longtemps après, pour l'Egyptien par bienveillance à son égard, pour les Macédoniens par crainte. Á côté du cheval, se trouvent d'autres offrandes des Argiens : les chefs qui combattirent contre Thèbes avec Polynice, soit: Adraste, fils de Talaos, Tydée fils d'Oineus, les descendants de Proitos, Kanapeus fils d'Hipponos et Etéocle fils d'Iphios, Polynice et Hippomédon, le fils de la sœur d'Adraste. Le char d'Amphiaraos fi¬gure à côté, ainsi que Batôn, debout sur le char comme conducteur de chevaux et aussi comme proche parent d'Amphiaraos. Le dernier de la série est Alithersès. Ces statues sont l'œuvre d'Hypatodoros et d'Aristogeiton, et ils les réalisèrent, comme les Argiens le précisent eux-mêmes, à la suite de la victoire qu'ils remportèrent eux-mêmes avec l'aide des Athéniens à Oinoa sur le territoire d'Argos contre les Lacédémoniens. C'est à la suite du même exploit qu'ils consacrèrent également, à mon avis, ceux que les Grecs appellent les Epigones. Ce sont en effet leurs statues qui sont à côté : Sthénélos et Alkmaion, le¬quel a été mis au rang d'honneur devant Amphiloque, à mon avis, en raison de son âge, puis Promachos, Thersandros, enfin Aigialeus et Diomède. Au centre, entre Diomède et Aigialeus, se tient Euryalos. En face, se trouvent d'autres sta¬tues : les Argiens les ont consacrées à la suite de leur participation, avec les Thébains et Epaminondas, à la construction de Messène. Il s'agit de statues représen¬tant des héros : Danaos, le plus puissant des rois d'Argos, Hypermestra, qui, contrai¬rement à ses sœurs, resta les mains propres. A côté d'elle, se trouvent Lugkeus et toute la lignée de leurs ascendants jusqu'à Héraclès, et, au-delà, jusqu'à Persée. C'est aux Tarentins que sont les chevaux de bronze et les femmes prisonnières, [une offrande] sur les Messapiens, des barbares frontaliers du territoire de Tarente ; l'œuvre est de l'Argien Agéladas.
22 avril 2006

Exercice pour HA 0005

L1 HA 0005 Art moderne

Pour tous les étudiant de HA 0005, quel que soit leur statut, l'équipe des enseigants (Christine Aribaud, Sophie Duhem, Fabienne Sartre et Pascal Julien en CM, Cécile Maisonneuve et Emilie Hamilka en TD) propose pendant les vacances, la préparation d'un exercice écrit portant sur :

Titien portraitiste

3 pages maximum. Relevé et corrigé à la rentrée.

22 avril 2006

Exercices pour HA 0012 - HA 0014

HA 0012, exercices de méthodologie habituelle (TD)
Antique, Eléonore Nadal : Amphore de la pleureuse du Vatican : Eos devant le corps de Memnon [Univers des formes, Grèce archaïque, p. 99, pl. 109]
Médiéval, Caroline Agudo, travailler et maîtriser le vocabulaire de l'architecture gothique
Virginie Czerniak, J. Dubois, le tympan central de la Madeleine de Vézelay

HA 0114, iconographie médiévale, Sandrine Molinié, le frontisîce de la Genèse, bible de Grandval, école de Tours (enluminure à pleine page vue au 1er cours d'introduction) (Univers des formes, l'Empire carolingien, p. 135)

22 avril 2006

Cours de L3 Moderne

L3 cours de moderne

Fabienne SARTRE

HA 1021, mercredi 14h-16h

Sculpture et peinture en Italie au XVIIe siècle

Les cours reprennent le 10 mai à 14h (s.110)

Pas de modification mais un cours supplémentaire en fin d’année pour travailler la dissertation, l’analyse de documents (date et horaire fixés à la rentrée)

HA 1022, jeudi 14h-16h

La formation des artistes en France au XVIIe siècle

Premier cours le mercredi 10 à 10h30 salle 110

Second cours : jeudi 11 mai, 14h ; les suivants à l’heure et jour habituels.

Un rattrapage axé sur l’analyse de documents est prévu ainsi qu’un cours au musée des Augustins. Dates et horaires fixés à la rentrée.

Pascal JULIEN

Peinture et sculpture en France au XVIIIe  siècle

Le cours du mercredi 10 est reporté,

remplacé à 10h 30 par un cours avec Fabienne SARTRE pour ceux qui ont cours avec elle en HA 1022.

Sculpture et architecture en France au XVIe siècle

Le cours du mercredi 10 est reporté,

remplacé à 10h 30 par un cours avec Fabienne SARTRE pour ceux qui ont cours avec elle en HA 1022.

22 avril 2006

Bibliothèque

Horaires Bibliothèque

A compter du 20 avril, la BUFR histoire, arts, archéologie augmente ses heures d'ouverture. La BUFR sera maintenant ouverte les vendredi après-midi.

Mai - Juin
LUNDI au VENDREDI : 9h-18h

Juillet (jusqu'au 13 juillet) et septembre
LUNDI au VENDREDI : 9h-17h

22 avril 2006

Etudiants L 1– Histoire de l’art contemporain

UE 5 : HA0005 Art contemporain

(Ch. Desbordes, Ch. Mange, L. Peyrusse, Ph. Viguier)

Lors de l’assemblée du jeudi 20 avril (9h 15, Amphi 6), l’équipe des enseignants en histoire de l’art contemporain propose à ses étudiants de 1ère année, inscrits en majeure, mineure ou UE optionnelle un exercice à faire durant les vacances de Pâques. Cet exercice doit être remis à l’enseignant concerné lors du prochain cours.

Il s’agit d’un commentaire d’une oeuvre du peintre Gustave Courbet :

- Les cribleuses de blé, 1855, huile sur toile, 131 x 167 cm., Nantes, Musée des Beaux-arts.

Ou

- Les demoiselles des bords de Seine, 1856, huile sur toile, 174 x 206 cm., Paris, Musée du Petit Palais.

Vous devez appliquer la méthode du commentaire vue en cours. Cet exercice ne doit pas dépasser trois pages.

Nous vous invitons à consulter les différentes études monographiques consacrées à cet artiste. Nous vous rappelons que les catalogues des bibliothèques de l’université comme ceux de la ville de Toulouse sont consultables sur Internet.

Bon travail, rendez-vous à la rentrée.

L’équipe des enseignants d’Histoire de l’art contemporain

21 avril 2006

L3 archéologie HA 2022: prospection et cartographie

Il est probable que les deux cours qui n'ont pu être faits ne le seront pas. Pour le TD de mobilier médiéval : Bernard Pousthomis prendra les étudiants qui ont choisi le mobilier médiéval le lundi 15 mai de 16h à 20h, salle 106 (ou autre qui sera précisée), et établira avec eux un calendrier des séances.
21 avril 2006

HA1020 hist art L3 préroman hispanique

Bonjour,
Vous trouverez, en PJ, une fiche actualisée avec le contenu du programme du 2e semestre sur l'art préroman hispanique, quelques adresses de site web pour des images, et des indications bibliographiques qui pourront vous aider. En attendant de vous revoir en cours, bon travail et bon courage. Nelly Pousthomis _Users_utilisateura_Documents_COURS_Hispanie_HMA_HA_10201.doc

21 avril 2006

HA 0013 étudiants L2 archéo et archi

Bonjour, Vous trouverez, en PJ, une fiche actualisée avec le contenu du programme du TD du 2e semestre, des indications bibliographiques et quelques adresses de site web qui pourront vous aider, en particulier celui que l'un de vous vient de créer car il vous permettra d'avoir accès à des images et de trouver une bonne partie des informations et liens que je vous propose. En attendant de vous revoir en cours, bon travail et bon courage. Nelly Pousthomis _Users_utilisateura_Documents_COURS_arche_o_du_ba_ti_HA00131.doc
11 avril 2006

HA 0005 1ère année (groupe du mercredi)

Vous trouverez, ci-joint, sous la forme d'un commentaire possible une synthèse de ce que nous avions vu ensemble sur l'architecture de la Chapelle Médicis. J'invite à nouveau les étudiants qui souhaiteraient s'entrainer, à me laisser leurs coordonnées.

Je ne désespère pas de vous revoir prochainement. Courage !

Cécile Maisonneuve

Chapelle_Medicis.doc

6 avril 2006

Master d'études médiévales, 1ère année

Rappel Dans le cadre de l'ue HIB 43, vous devez rendre à Philippe Sénac un compte rendu d'une séance de séminaire (celui du jeudi AM) de votre choix. Il devra être obligatoirement dactylographié et ne pas excéder 4 pages (une copie double A4). La date limite de remise du compte rendu est fixée au 15 mai. Nous espérons que, d'ici là, l'accès à l'université sera rétabli ... Nelly Pousthomis
6 avril 2006

Etudiants 1ère et 2e années. Période contemporaine

Etudiants de Melle Ch. Desbordes et Mme L. Barlangue.

Vous trouverez en fichiers joints, deux documents qui doivent orienter vos révisions.

1ère année, période contemporaine

1_re_ann_e1.doc

2e année Art 21, option, iconographie contemporaine

optionIcono2e.ann_e_Desbordes__Barlangue_.doc

Tous nos encouragements

Ch. Desbordes, L. Barlangue

6 avril 2006

Jeudi 6 avril, HA 0005, art moderne, 1ere année (S. Duhem)

Je vous propose de vous entraîner à la rédaction du commentaire thématique et
d'étudier, dès à présent,  la "Transfiguration" de Raphaël, en rédigeant un
plan détaillé ou un commentaire (avec introduction, deux ou trois parties
thématiques, une conclusion).

Si vous souhaitez une correction, le mieux est de me transmettre votre devoir par mail.
Pour cela, indiquez votre adresse e-mail dans la rubrique "commentaire", je vous recontacterai.

Bon courage !
S. Duhem



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Le blog des enseignants d'Histoire de l'art de Toulouse.
  • Une page consacrée à la section d'Histoire de l'art de l'UFR d'histoire de l'université de Toulouse le Mirail où les enseignants mettent à disposition des étudiants des informations et des fichiers à télécharger.
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